642 PAGES
ÉDITIONS ALIRE
2007
Pierre Sauvé, Frédéric Ferland et Maxime Lavoie n’avaient rien en commun avant que Maxime, jeune milliardaire désabusé, n’anime une émission de télé-réalité controversée réalisant les fantasmes les plus débridés des gens. Dans une atmosphère aux airs de fin de siècle, la télévision se fera le miroir déformant d’une réalité grotesque à glacer le sans. Qui, de Pierre, policier veuf dans la quarantaine, ou de Frédéric, psychologue blasé en quête de sensations fortes, sera le plus enclin à participer au cirque diabolique orchestré par Maxime? Peu importe, car au beau milieu de ce spectacle malsain, l’irréparable sera commis en direct dans une danse macabre qui bouleversera à jamais la vie de nos trois héros, tout comme celle de milliers de gens… et tout comme la vôtre.
--------------------------------------
COMMENTAIRES :
Y’a bien un livre qui est sur toutes les lèvres, où tout le monde en vente les mérites et l’excellence de l’auteur; « Le vide » de Patrick Senécal.
Moi, première fois que je goûte à sa médecine qu’on décrit comme très « hard » tout spécialement celui-ci. Déjà dans les premiers chapitres on a droit à des descriptions très crues et sans merci.
Avec des chapitres qui sont publiés dans le désordre, l’auteur a su avec ingéniosité captiver et tenir en haleine ses lecteurs avec des sujets d’actualité : « la télé-réalité » et le mal de vivre d’une société sans ressource.
Ce qui rend ce livre d’autant plus fascinant, selon moi, c’est la facilité à laquelle le tout est bien écrit et que les mots glissent facilement à la lecture.
Comme un couteau enfoncé dans le creux de la poitrine, on lit Le Vide en se demandant mais « qu’est-ce qui arrive » et plus le couteau s’enfonce, plus nous sommes persuadés et avons la conviction d’être le déclin de notre propre malheur.
On ne peut qu’être troublé, fouetté, perdu, perturbé, triste et mal face à la lecture des mots qui nous giclent et crachent en plein visage.
Tous ceux qui l’auront lu seront d’accord qu’on ne peut pas rester insensible à la fin d’un certain : Chapitre #7. J’ai dû moi-même reposer le livre et aller me reconditionner les esprits dehors à l’air frais de l’automne.
À la fin, beaucoup de questions ne peuvent que nous tourmenter.
Prochain test : lire Le vide dans l’ordre des chapitres. Sera-t-il aussi excellent?
ÉDITIONS ALIRE
2007
Pierre Sauvé, Frédéric Ferland et Maxime Lavoie n’avaient rien en commun avant que Maxime, jeune milliardaire désabusé, n’anime une émission de télé-réalité controversée réalisant les fantasmes les plus débridés des gens. Dans une atmosphère aux airs de fin de siècle, la télévision se fera le miroir déformant d’une réalité grotesque à glacer le sans. Qui, de Pierre, policier veuf dans la quarantaine, ou de Frédéric, psychologue blasé en quête de sensations fortes, sera le plus enclin à participer au cirque diabolique orchestré par Maxime? Peu importe, car au beau milieu de ce spectacle malsain, l’irréparable sera commis en direct dans une danse macabre qui bouleversera à jamais la vie de nos trois héros, tout comme celle de milliers de gens… et tout comme la vôtre.
--------------------------------------
COMMENTAIRES :
Y’a bien un livre qui est sur toutes les lèvres, où tout le monde en vente les mérites et l’excellence de l’auteur; « Le vide » de Patrick Senécal.
Moi, première fois que je goûte à sa médecine qu’on décrit comme très « hard » tout spécialement celui-ci. Déjà dans les premiers chapitres on a droit à des descriptions très crues et sans merci.
Avec des chapitres qui sont publiés dans le désordre, l’auteur a su avec ingéniosité captiver et tenir en haleine ses lecteurs avec des sujets d’actualité : « la télé-réalité » et le mal de vivre d’une société sans ressource.
Ce qui rend ce livre d’autant plus fascinant, selon moi, c’est la facilité à laquelle le tout est bien écrit et que les mots glissent facilement à la lecture.
Comme un couteau enfoncé dans le creux de la poitrine, on lit Le Vide en se demandant mais « qu’est-ce qui arrive » et plus le couteau s’enfonce, plus nous sommes persuadés et avons la conviction d’être le déclin de notre propre malheur.
On ne peut qu’être troublé, fouetté, perdu, perturbé, triste et mal face à la lecture des mots qui nous giclent et crachent en plein visage.
Tous ceux qui l’auront lu seront d’accord qu’on ne peut pas rester insensible à la fin d’un certain : Chapitre #7. J’ai dû moi-même reposer le livre et aller me reconditionner les esprits dehors à l’air frais de l’automne.
À la fin, beaucoup de questions ne peuvent que nous tourmenter.
Prochain test : lire Le vide dans l’ordre des chapitres. Sera-t-il aussi excellent?
1 commentaire:
Je partage entièrement ton opinion!!!! C'est un livre qu'il est difficile de lâcher... mais en même temps, parfois, il faut prendre des pauses... c'est hard!
Et le pire dans tout ça... c'est qu'il n'est pas passé loin et touche un phénomène de société qui prend de plus en plus d'ampleur. Ce vide et cette angoisse de vivre... Ça fait réfléchir!!!
Enregistrer un commentaire