205 PAGES
LANCTÔT ÉDITEUR
2001
À défaut d’avoir pu mettre la main à ma bibliothèque municipale (ils l’ont tout simplement pas) sur Pourquoi je ne me suis pas suicidé comme mon ami Louis de Jean-Marc Beausoleil, j’ai décidé de m’attaquer sur son premier roman La conversation française.
Journaliste pigiste de profession, Beausoleil a étudié la littérature française à l’Université de Montréal et à l’Université de McGill. Il est également membre de la Fédération professionnelle des journalistes du Québec.
C’est l’histoire de Jean-François Beauparlant, il porte très bien son nom, nous le suivons dans différentes péripéties de sa vie. Un chapitre pour une étape. Avide de chair de femmes, célibataire endurci, consommateur du substance illicite, amoureux de littérature et trop généreux de sa personne, on ne peut que se demander s’il est psychologiquement stable à tel point qu’il s’enfonce dans son malheur qu’il crée de tout pièce.
Mais où tout cela va débouler? Sans artifice, tout simplement, l’auteur nous laisse un peu comme lorsqu’on utilise les points de suspension, et si l’histoire n’était grammaticalement pas complète.
Une belle découverte. Je ne regrette pas d’avoir croqué la La conversation française avant de lire son deuxième roman. J’ai même encore plus hâte de me le procurer ce que je m’ordonne de faire pour le temps des fêtes. Une lecture qui se coule bien et qui va droit au but, sans détour. J’adore!! Beaucoup de personnages secondaires qui viennent et passent, sans jamais regretter aucun, pour mettre leur grain de sel dans la vie de Jean-François.
Dernier point, par moment, en contradiction avec le titre, nous avons droit à certains dialogues dans la langue de Shakespeare. Ayant une très mauvaise maîtrise de cette langue, ça m’a un peu fripé.
LANCTÔT ÉDITEUR
2001
À défaut d’avoir pu mettre la main à ma bibliothèque municipale (ils l’ont tout simplement pas) sur Pourquoi je ne me suis pas suicidé comme mon ami Louis de Jean-Marc Beausoleil, j’ai décidé de m’attaquer sur son premier roman La conversation française.
Journaliste pigiste de profession, Beausoleil a étudié la littérature française à l’Université de Montréal et à l’Université de McGill. Il est également membre de la Fédération professionnelle des journalistes du Québec.
C’est l’histoire de Jean-François Beauparlant, il porte très bien son nom, nous le suivons dans différentes péripéties de sa vie. Un chapitre pour une étape. Avide de chair de femmes, célibataire endurci, consommateur du substance illicite, amoureux de littérature et trop généreux de sa personne, on ne peut que se demander s’il est psychologiquement stable à tel point qu’il s’enfonce dans son malheur qu’il crée de tout pièce.
Mais où tout cela va débouler? Sans artifice, tout simplement, l’auteur nous laisse un peu comme lorsqu’on utilise les points de suspension, et si l’histoire n’était grammaticalement pas complète.
Une belle découverte. Je ne regrette pas d’avoir croqué la La conversation française avant de lire son deuxième roman. J’ai même encore plus hâte de me le procurer ce que je m’ordonne de faire pour le temps des fêtes. Une lecture qui se coule bien et qui va droit au but, sans détour. J’adore!! Beaucoup de personnages secondaires qui viennent et passent, sans jamais regretter aucun, pour mettre leur grain de sel dans la vie de Jean-François.
Dernier point, par moment, en contradiction avec le titre, nous avons droit à certains dialogues dans la langue de Shakespeare. Ayant une très mauvaise maîtrise de cette langue, ça m’a un peu fripé.
2 commentaires:
Je ne suis pas certaine d'être tentée. Ton commentaire est bien intéressant mais je crois quand même que je vais passer mon tour pour celui-ci!
Je vais peut-être me laisser tenter... curiosité oblige. ;o)
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