Lorsque j'ai débuté mon blog de lecture, j'avais de très bonne intention: "Cette fois-ci, je vais être rigoureuse dans mes écrits et je vais commenter chacune de mes lectures. Il sera méga-hyper-foule-intéressant mon blog. Les gens vont se bousculer pour y avoir accès. Je vais être obligé d’y installer une machine à ticket à numéro. Je vais devenir une personnalité connue du Web. Et pour une fois dans ma vie je vais mener à terme un projet qui me tient à coeur et bla bla et bla..."
Quelle joie je me fais à l’idée qu’il soit fréquenté par plusieurs dizaines de personnes et dont des commentaires fussent de partout. J'arrive même à y croire pendant un certain temps.
Mais voilà, puisque j'y consacre peu de temps et qu'en plus je ne laisse pas ma trace sur les autres blogs, il va de soi que mon univers n'est guère attirant pour les LCA (lecteurs compulsifs anonymes) qui ne trouveront rien de particulier à ce mettre sous la dent. Tout aussi bien qu’ils se sauvent en criant : « Famine!!! » et que Unicef se charge d'eux.
Quelle joie je me fais à l’idée qu’il soit fréquenté par plusieurs dizaines de personnes et dont des commentaires fussent de partout. J'arrive même à y croire pendant un certain temps.
Mais voilà, puisque j'y consacre peu de temps et qu'en plus je ne laisse pas ma trace sur les autres blogs, il va de soi que mon univers n'est guère attirant pour les LCA (lecteurs compulsifs anonymes) qui ne trouveront rien de particulier à ce mettre sous la dent. Tout aussi bien qu’ils se sauvent en criant : « Famine!!! » et que Unicef se charge d'eux.
Je m'y résous, je n'ai ni l'énergie ni l'inspiration suffisante pour pondre à chaque semaine des commentaires sur chaque roman lu. Même si certain mériterait amplement que j'y déroule le tapis rouge.
Il y a ces constats qu'on ne peut fuire: Que Bouquinerie Park sert plus à titre de base de données personnelle qu'un outil où il fait bon d'y revenir et échanger.
